Bourse GEO du Jeune Reporter 2022 : à vos candidatures !

Pour la quatrième année consécutive, la rédaction de GEO propose la Bourse GEO du jeune reporter. Avec, comme président d’honneur : Pierre Haski, Président de l’association Reporters Sans Frontières. Ce concours de journalisme et de photojournalisme s’adresse à de jeunes talents âgés entre 18 et 30 ans.


Depuis le 27 octobre, les participants peuvent soumettre leur dossier de candidature – un curriculum vitae accompagné d’une lettre de motivation et du synopsis d’un projet de reportage – à la rédaction de GEO, via la page Bourse GEO sur le site geo.fr. Et ce, jusqu’au 31 décembre 2021.

Le jury étudiera les projets qui entrent dans la ligne éditoriale du titre, c’est-à-dire ceux qui traitent notamment de la découverte de nouveaux territoires, de l’environnement, des différentes cultures et sociétés, et sont le plus à même d’enrichir l’information des lecteurs… La délibération est programmée en février 2022. A la clé ? Un financement de 5 000 euros pour réaliser un reportage.

Le/La grand.e gagnant.e sera accompagné.e d’un coéquipier journaliste ou photographe, selon les cas, en vue d’une publication du sujet dans le magazine et sur le site web de GEO. Avant de partir sur le terrain, il/elle bénéficiera de briefings avec la rédaction, afin de l’aider à mieux adapter son travail à l’écriture magazine et à celle de GEO, assortis de conseils concrets sur l’organisation du reportage.

Le nom du/de la lauréat.e sera annoncé lors d’une soirée de remise du prix en avril et publié dans le GEO d’avril.

Coup d’oeil sur les 3 précédentes éditions

A chacune des trois premières éditions, le jury a reçu entre 100 et 150 candidatures.

Cette année, la Bourse GEO du Jeune Reporter a été remportée par Julie Bourdin, journaliste, pour son enquête en Afrique du Sud. Elle espère s’y rendre prochainement en fonction de l’évolution du contexte sanitaire. L’an passé, la lauréate était Laure Playoust, photojournaliste, qui a réalisé un sujet en Palestine à l’été 2021.
En 2019, ce prix avait alors été remporté par Victoire Chevreul, journaliste. Son reportage réalisé dans l’Extrême-Orient russe est à retrouver dans les pages du magazine n°491 et sur le site de GEO.